JML38

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Juré dans la catégorie :

Littérature noire

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Le PAI 2022, les prix littéraires et toi !

As-tu déjà été chroniqueur ou juré pour un Prix Littéraire?

Oui : Quai Du Polar, Le livre de poche polar, rentrée littéraire lecteurs.com, Points polar, Salon polar Villeneuve-Lès-Avignon, nouvelles voix du polar Pocket.

Pourquoi passer maintenant au PAI ?

J’ai eu envie de vous rejoindre parce que j’aime découvrir de nouveaux talents et participer à des jurys. Habitué à fréquenter les salons et à rencontrer les auteurs, j’ai conscience de l’importance d’un prix pour eux.

En vous rejoignant, j’espère me faire plaisir avant tout en découvrant des romans peu connus. Et peut-être donner un coup de pouce à un futur grand talent.

Tu es juré en Littérature noire. Pourquoi ce choix ?

Le polar est mon genre de lecture privilégié. J’en lis plus de 200 par an. J’en ai même écrit un qui a trouvé son éditeur et devrait sortir l’an prochain.

La lecture et toi !

Pourquoi avoir décidé d'écrire des chroniques de lecture ?

Tout naturellement pour partager mes impressions de lecture et donner envie de lire les romans que j’ai aimés. Pour avoir le plaisir de recevoir en retour les mots sympas des auteurs sur les sites ou lors de rencontres. Mais également pour tester ma faculté à rédiger, avant de me lancer dans l’écriture de nouvelles, puis d’un roman.

Alors parle-nous de tes lectures.

Quel livre emporterais-tu sur une île déserte et pourquoi ?

Les vacances de Bérurier. Je suis fan des aventures de San-Antonio et de Béru depuis que je suis tombé dedans il y plus de quarante ans. Depuis la disparition de Frédéric Dard, je relis régulièrement un opus, ma préférence allant à la période des années soixante. C’est un véritable remède à la morosité et cette croisière de toute la fine équipe sur le « Mer d’alors » serait le livre qui m’accompagnerait sur une île déserte.

Quel livre as-tu l'impression d'être le seul à aimer ? Et qu'est-ce que tu as aimé dedans ?

Vaincre à Rome. Sans aller jusqu’à dire que personne n’a aimé ce roman de Sylvain Coher, j’estime qu’il n’a pas été apprécié à sa juste valeur si je compare les notes et appréciations sur Babelio avec mon ressenti. J’ai adoré cette balade dans Rome en 1960, dans la foulée d’Abebe Bikila, premier athlète d’Afrique noire champion olympique, qui, pieds nus, entre symboliquement en vainqueur sur une via Appia éclairée par des soldats italiens brandissant des torches, s’imaginant « corne d’Afrique fichée en écharde dans la botte italienne ». L’écriture est tellement fluide, lyrique, aérienne comme la foulée du superbe Abebe Bikila, que j’ai fini ce livre aussi peu essoufflé que le coureur dont les efforts sont effacés par l’exploit, si fier d’avoir gagné « parce qu’un bon coureur est plus utile à son pays qu’un bon tirailleur ».

Quel livre as-tu l'impression d'être le seul à ne pas aimer ? Et qu'est-ce que tu n'as pas aimé dedans ?

La peste. J’avoue avoir du mal avec le style de Camus. J’avais l’impression de ne pas avancer dans une histoire pourtant prometteuse mais qui pour moi restait trop au niveau des descriptions et des états d’âme des personnages. D’un autre côté, j’ai bien précisé que mon genre préféré était le polar.

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