Sophie de Beltane (lit en) Secret

Blogueuse littéraire

Tout à fait par hasard ! J’étais inscrite dans plusieurs groupes où je postais régulièrement des retours de lecture et c’est Virginie (Wicke) qui m’a contactée. Elle m’a dit qu’elle aimait bien mes avis et m’a proposé de les partager sur son blog « Beltane (lit en) secret ». Cela alimentait son site alors qu’elle manquait de temps et me permettait de réaliser de vraies chroniques sans toutefois avoir les inconvénients liés à la création d’un blog personnel. En bref, cela arrangeait tout le monde.

Le PAI

Encore une fois c’est Virginie qui me l’a proposé et cela m’a semblé dans la lignée logique de ce que je faisais déjà. Comme je consacrais une de mes lectures sur deux à des auteurs auto-édités et que j’étais par ailleurs correctrice, essentiellement pour eux (mais pas que), j’ai trouvé l’idée de mettre en avant les auteurs indépendants très intéressante.

La littérature noire

Comme je lis essentiellement du thriller/policier/noir, même s’il m’arrive de toucher un peu à tout, je me suis naturellement tournée vers cette catégorie. Et, comme il y a encore 6 mois j’avais aussi un job alimentaire qui m’occupait 40h par semaine, je n’avais que mes weekends et mes soirées pour effectuer mes corrections. Le temps alloué à la lecture était donc fort réduit et n’était pas suffisant pour que je m’inscrive dans plusieurs catégories.

Si j'étais un écrivain...

Sans hésiter Stephen King ! LE maître pour moi, depuis toujours. J’adore ses histoires et surtout sa manière d’instaurer des ambiances, lentement, à petites touches, et de montrer que les monstres ne sont finalement pas (que) ceux que l’on croit. C’est LE conteur par excellence.

Si j'étais un personnage de roman...
Éléa, l’héroïne de La nuit des temps de René Barjavel. L’une des plus belles histoires d’amour jamais écrites ! Et l’un des plus grands drames aussi. C’est une héroïne intemporelle, comme Juliette ou Iseult, capable de tout par amour, du pire comme du meilleur.
Si ma vie avait un titre de livre ?
La confusion des sentiments de Stefan Zweig. Encore un magnifique drame. C’est drôle comme j’ai du mal à imaginer l’amour sans le drame : l’impossibilité d’aimer ou le malheur d’être rejetée. Je suis quelqu’un de tellement entier et idéaliste que j’ai toujours été déçue de mes propres histoires, à un moment ou à un autre. Peut-être d’ailleurs ne suis-je réellement amoureuse que de l’amour et du sentiment amoureux…

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