Blogueuse littéraire
Un peu par hasard, j’ai commencé à suivre des pages FB comme Au Boudoir écarlate ou des blogs de lecteurs. Cela m’a donné envie, pour moi d’abord, de faire des mini-avis pour me souvenir. Et puis un appel à chroniqueurs sur le Boudoir m’a fait sauter le pas. Cela fait maintenant depuis 2013 que je chronique et 2014 que je blogue pour moi en parallèle.
Le PAI
J’aime découvrir de nouveaux auteurs, mais surtout ceux dont tout le monde ne parlent pas encore forcément. Le PAI c’était LE prix qu’il me fallait pour cette découverte. Et faire partie d’un jury cela veut dire aussi partager entre nous, avoir de nouvelles expériences et rencontres dans le genre que j’affectionne. Je suis donc super ravie d’être là car j’y retrouve ce que j’en attendais.
L'imaginaire
Pour moi la lecture c’est l’évasion. Je ne la vois donc pas dans un autre genre que la SFFF qui me fait voyager dans le temps, l’espace, les mondes et univers connus et inconnus. La catégorie Imaginaire était donc toute désignée.
Si j'étais un écrivain...
Autant je me sens bien dans l’écriture d’une chronique car je la fais avec mes tripes et mon ressenti lors de ma lecture, autant écrire une histoire avec son propre univers serait une épreuve trop ardue pour moi. Et puis j’aime lire les autres mais pas ma plume lol, c’est pourquoi j’avoue aimer lire et relire des auteurs comme le couple Eddings, Marion Zimmer Bradley ou encore Ann McCaffrey.
Mais j’ai découvert il y a peu la plume de Charlotte Bousquet ou Amanda Bayle qui ont su me toucher aussi. Beaucoup d’autres attendent que je les découvre et j’en suis ravie.
Si j'étais un personnage de roman...
J’adorerais être un personnage secondaire : la copine délirante qui est toujours là dans les coups durs mais froussarde comme pas deux 😉 et maladroite. Surtout maladroite tant dans ses gestes que ses paroles. Je n’ai pas de noms à vous fournir à chaud comme ça hélas mais je suis sûre que vous avez chacun(e) un personnage de ce genre qui vous parle dans vos lectures.
Celles et ceux qui me connaissent en vrai savent que l’on ne me surnomme pas Dory pour rien. Et que niveau maladresse et « mince ! J’ai encore mis les pieds dans le plat », ben c’est tout moi !
Si ma vie avait un titre de livre...
A l’adolescence, cela aurait pu être « Le temps des râteaux » de Hervé Mestron (je ne parle que du titre car je n’ai jamais eu de chien télépathe :p).
Et maintenant, je dirais « La fourmi qui rêvait de devenir libellule » car j’ai encore un passif qui m’empêche de décoller même si les ans et mes proches ont allégé le fardeau sur mes épaules.