Couverture du roman : photo de la mer avec une côte en arrière plan

Les Chroniques de Zemla

Icône de la catégorie Imaginaire : une licorne

Les Chroniques de Zemla

Patrice Cochet-Balmet

Après la Grande Pandémie qui ravagea la Terre dans les années 2020-2027 de son ère moderne, des milliers de fusées furent lancées vers la douzaine d’exo-planètes que les scientifiques considéraient comme habitables. Ces fusées contenaient les germes d’une nouvelle civilisation, d’un nouveau départ, d’un nouveau rêve.

L’humanité repartait à zéro sur une planète ressemblant à bien des égards à la Terre d’avant, et aujourd’hui, en l’an 600 de la Renaissance, elle a retrouvé le paradis perdu, le rythme du XIX siècle des pays du sud, mais sans les maladies, sans les Start-ups, sans les stratégies commerciales et autres joyeusetés d’un passé cauchemardesque.

La population de Zemla est divisée en trois castes : les Hands (gens peu évolués qui parlent le Flurk, patois anglo-saxon composé de 1200 mots monosyllabiques) qui se diverissent en compagnie de Fictionnelles, ces femmes robots ou hologrammes, les Adins (chercheurs et intellectuels) qui parlent le français et d’autres anciennes langues de la Terre et les Vénérables, minuscule oligarchie sortie de l’élite des jeunes Adins qui prendront la relève.

Mais l’équilibre est fragile sur Zemla et c’est ainsi que les Vénérables confient l’étude des sept dernières années de la Terre à un jeune savant, Agapos, Adin ô combien prometteur.

 

«Une satire sur fond de science-fiction bien plus proche de notre quotidien que vous ne pourriez l’imaginer !»

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