Couvertre du roman : Elle est constituée d'un fond bleu très sombre sur lequel se dessinent des fleurs d'un bleu plus clair et blanc.

Victoria

Icône de la catégorie Littérature blanche : un livre

Victoria

Emilie Riger

Un prénom royal pour seul héritage paternel, ne mère mal-aimante, un beau-père qui ne sera jamais son père. Victoria a dix-sept ans et de la noirceur plein la tête. Des questions sans réponses. Des envies d’ailleurs non assouvies parce qu’autour d’elle, ils sont indispensables : Amie la folle, Vincent le silencieux et Octave le lumineux, qui l’aime.

Quand elle met au monde l’enfant d’Octave, la noirceur est toujours là, l’envie trop forte. Victoria disparaît. Octave devient père et attend, parce qu’il est sûr, de l’amour, du futur, d’eux.

Dans ce roman à deux voix, où tout est affaire de poids et de choix, où les aspirations se heurtent aux réalités crues, où destin et construction se défient, il s’agira de trouver sa place. Celle où le noir prend vie par la lumière. Au fil d’une écriture ténue, Emilie Riger déploie une humanité sensible.

Bouleversante.

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