Couverture du roman : Sur un fond bleu turquoise strié d'un dégradé d'orange et de rose fuchsia, on voit le dessin stylisé d'une tête d'éléphant de profil

Un éléphant avec un fil à la patte

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Un éléphant avec un fil à la patte

Camille Morel

Quand violence et combat sont ce que tu es, ce qui te détermine, ce que tu vis, ce que tu as toujours connu, ce que tu produis et reproduis, qui peux-tu être d’autre ?

Si un jour tout changeait ? Alors le choisirais-tu ? Si un jour la paix absolue t’était offerte et que tu pouvais ne plus combattre alors que tu ne connaissais que ça, que deviendrais-tu ?

Quand il faut véritablement apprendre à s’aimer soi-même. Quand ça fait si peur et que tu préfères le combat, quand ça fait mal de vivre, mais que c’est ce qui semble te maintenir en vie. Quand le chemin est si dur que tu penses que tu vas en mourir.

Il t’a fallu vivre l’extrême et le désamour de toi-même pour le comprendre. C’était là, à ta portée, tu as choisi tellement de chemins de traverse pour en arriver là. Mais tout est juste, regarde-toi, regarde-moi, je suis si fière de ce que nous sommes aujourd’hui.

Je suis toi, je suis moi, je suis nous.

Voir enfin le chemin s’illuminer devant soi, ne plus anticiper aucun obstacle puisqu’il n’en existe plus. Être enfin alignée avec la meilleure version de soi-même, constater les miracles quotidiens et ne plus avoir peur, de rien.

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