Couverture du roman : on y voit un nuage blanc-verdatre dans un ciel noir au dessus des silhouettes d'un paysage indéfini (cimetière ?) envahi par des branches et ronces.

Vengeance Macabre

Icône de la catégorie Littérature blanche : un livre

Vengeance Macabre

Antonio J. Raposa

J’avais comme l’impression que quelqu’un se tenait derrière moi, debout, me fixant, prêt à me saisir au moindre geste.

Je n’osais pas tourner la tête craignant de voir quelqu’un, le visage déformé. J’essayais de me rassurer en me disant que ce n’était qu’une impression, mais je le sentais, je sentais ce regard qui ne me lâchait pas, qui me brûlait de l’intérieur, comme s’il me disait, d’une voix grave et caverneuse, « regarde-moi ! ».

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