Couverture du roman : on y voit, en voir sur fond bleu très pale, un croissant de lune dans lequel se découpe le profil d'un visage. De part et d'autre de ce croissant, un hippocampe horizontal qui dessine l’œil du visage d'un côté et son symétrique de l'autre. Sous cet ensemble, 6 lignes noires horizontales de moins en moins épaisse et de moins en moins large au fur et à mesure qu'on va vers le bas.

L’Archipel des Hippocampes

Icône de la catégorie Littérature blanche : un livre

L’Archipel des Hippocampes

Béatrice Collas

Glénat : un confetti jeté au milieu de l’Atlantique, une terre préservée, âpre et somptueuse. C’est là que Morgane et Bran ont grandi jusqu’à la fin de l’adolescence. Douze ans ont passé. Chacun tente de tenir à distance les souvenirs de l’âge d’or vécu dans l’archipel, qu’ils ont quitté pour devenir adulte. Elle est partie pour de bon. Lui est revenu y vivre. Elle est chercheuse en génétique. Lui, navigateur au long cours.

A la mort de son père, Morgane reprend contact avec Bran. Il est le seul à pouvoir honorer les dernières volontés de cette figure emblématique de l’île, à la fois druide et soigneur, qui est décédé soudainement. Rattrapés par les fantômes du passé qui semblent rebattre les cartes, Morgane et Bran basculent alors dans une aventure qui les dépasse, où ils renouent avec la puissance de la nature et la guidance du vieux sage pour contrer la menace qui pèse sur l’intégrité de l’île.

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