Couverture du roman : on y voit un blason or et gris

La Malédiction d’Irminsul

Icône de la catégorie Littérature blanche : un livre

La Malédiction d’Irminsul

Anaël Train

Épopée viking en Aquitaine

Blaye, 847                      

Depuis les remparts de la cité, l’abbé Ulrich regarde avec effroi l’imposante armada viking remonter l’estuaire de la Gironde.

Aucun doute : c’est Bordeaux que ces guerriers sanguinaires convoitent.

Blaye résistera-t-elle à leur retour ?

À l’heure où la terreur persuade les Blayais de se préparer au pire, Ulrich, lui, doit affronter ses propres démons.

Qui est cette païenne, la mystérieuse Fréa qui le poursuit en rêves ? Qu’attend-elle de lui ?

 

Depuis son navire, Asgeir, lui, ne songe qu’à sa conquête. Les runes l’ont assuré de la victoire. Alors pourquoi ce vieillard, Wigbert, lui brandit-il sous le nez la malédiction d’Irminsul ? Et pourquoi cette obsession, tenace, du tombeau de Roland, le preux chevalier de Charlemagne ?

 

Ulrich, Asgeir, Wigbert.

Trois hommes à la croisée de leurs destins dans une Aquitaine à feu et à sang.

Trois quêtes.                  

Enchevêtrées.

Épiques.

Au nom de l’honneur et de la justice.

 

Une fresque haute en couleurs et en personnages farouches dans laquelle nous plonge avec talent la plume fluide, évocatrice et puissante d’Anaël Train. La Malédiction d’Irminsul est son deuxième roman après Le Serment de Jaufré.

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