4ème de couverture :
Manon n’est pas une fille comme les autres, ça, elle le sait depuis son plus jeune âge. En effet, une fille normale ne passe pas ses journées à regarder la vraie vie à la télé. Une fille normale ne compte pas les jours qui la séparent de la prochaine raclée monumentale… Mais, par-dessus tout, une fille normale n’aide pas son père à garder une adolescente prisonnière dans la cave de la maison.
Auteur : Magali Collet – Editeur : Taurnada – 211 pages – Genre : Thriller
Avis membres du jury :
Parfois, les auteurs n’ont pas besoin d’être explicites pour nous faire deviner l’ignominie. Parfois, la narration simple et naïve prêtée à un personnage est nettement plus glaçante que n’importe quelle envolée lyrique. Parfois, le Mal a l’état pur se cache dans des gestes quotidiens des plus anodins.Nathalie du blog : Mes Lectures du Dimanche
Un livre pas forcément très long, mais bien mené, oppressant qui vous englue dans cette sorte de huis-clos.Aurore du blog : Aurore au pays des livres
La cave aux poupées est un roman d’une extraordinaire efficacité qui sait provoquer de façon évidente les émotions sans doute recherchées par l’auteure, Magali Collet : en premier lieu le dégoût et la peur, accompagnées d’une sensation d’étouffement face à laquelle nos récents confinements paraissent bien doux.Laurent du blog : Au fil de Lau
C’est un roman percutant, psychologiquement lourd, dans lequel j’ai adoré me plonger. Je le déconseille aux personnes sensibles, mais le recommande aux lecteurs en quête de sensations fortes.Jessiica de la page Instagram : @laplume_dejessica
Ce qui marque dès le début de la lecture, c’est le point de vue et le ton. Le « je » narrateur est terrible ! 😱 On se met dans la peau d’une victime/bourreau rompue aux habitudes d’un quotidien d’une violence crue, psychologique comme physique.Chloé de la page Instagram : @thrillarhist
J’ai apprécié ce thriller original qui nous fait vivre dans une maison des horreurs à travers les yeux d’une victime malgré elle devenue tortionnaire aux yeux des autres.Maria-Magdalena du blog : L’âme des mots
Sans jamais tomber dans la facilité, Magali Collet m’a mis un uppercut sans que je ne l’ai vu venir. Glaçante, terrifiante , l’écriture est posée, ciselée dans des chapitres courts bien construits.Gérald de la page Instagram : @Lesbouquinsvoyageursdegerald
Cette sobriété qu’a Magali Collet de traiter son huit-clos est bien pensée. Malgré l’horreur de la situation, on s’attache à cette « gamine » asservie et pourtant si forte.Julie du blog : Musemania’s books
Je me suis lancée dans cette lecture le cœur lourd car, comme je le pressentais, les mots de Magali Collet m’ont fait ressentir de la peur et aussi une certaine oppression. Elle dépeint un tableau empreint de violence, de ce que l’homme a de plus noir et de plus vicieux.Karine de la page Facebook : Karine Harry Bouquinent
Une histoire aussi glauque et bien contée accélère votre respiration quand vous entendez les pas dans l’escalier, vous hérisse le poil lors des scènes atroces, vous met une boule dans la gorge face à la souffrance souvent dépeinte et parfois indicible. L’auteure sait jouer avec nos nerfs et notre ascenseur émotionnel, cela ne fait aucun doute.Claire du blog : Claire Stories 1, 2, 3 !
C’est un excellent et étouffant huis-clos qui développe plusieurs thèmes durs et dérangeants sur un ton d’une justesse effrayante, révèle que la cause des femmes est chère à Magali Collet, mais parle aussi d’amitié, de rédemption et (je l’espère) de résilience.Sophie du blog : Beltane (lit en) Secret
C’est une histoire qui se lit d’une traite et qui prend aux tripes. Mais il m’a manqué quelque chose. J’ai trouvé qu’il n’y avait pas assez de rebondissements et l’autrice nous rajoute à un moment des personnages qui n’ont pas vraiment servi à l’histoire.Nancy du blog : Les livres de Nancy
Et je remercie très chaleureusement les organisatrices de ce merveilleux Prix ainsi que les membres plus téméraires que moi de ce jury puisqu’ils m’ont ainsi permis de faire une découverte… Eprouvante certes mais absolument exceptionnelle à n’en point douter !Aurélie du blog : Des livres et moi
Le choix du narrateur, la jeune fille, couplé à une utilisation parfaite du vocabulaire et de la syntaxe, qu’on peut attendre d’une personne dans sa situation, rendent le récit complètement immersif et réaliste.Benjamin de la page Instagram : @jm.lalecture
Le récit est d’autant plus dérangeant qu’il est raconté à la première personne par un personnage très jeune; les constructions de phrases et le vocabulaire utilisés rendent l’histoire extrêmement vraisemblable. Totalement effrayant.Anaëlle de la page Instagram : @parenthese_litteraire
Ce roman fait clairement partie de la catégorie « Noire ». Noire de chez noire.Naïma de la page Instagram : @une_grande_lectriceee