4ème de couverture :
Indispensable, omniprésent, le web fait à ce point partie de notre quotidien qu’on n’imaginerait plus vivre sans. Si bien qu’en regardant en arrière, il faudrait presque un temps de réflexion. C’était comment, avant Internet ?
Années 90, Paul envoie une lettre qui peut changer sa vie. Années 2010, Flavie doit faire un choix crucial pour son avenir. Même séparés par une révolution technologique qui a absolument tout changé, ces deux adolescents partagent un idéal intemporel : ils ont des rêves plein la tête…
Une plongée tendre et douce-amère dans un quotidien qui ne tournait pas encore autour du web.
Auteur : Thomas Palpant – Editeur : Autoédition – 177 pages – Genre : Littérature blanche
Avis membres du jury :
Cela reste un livre bien écrit, agréable à lire et divertissant qui m’a ramené le temps d’une lecture à l’époque où je découvrais le minitel, où je me promenais avec mon walkman auto-reverse et mes cassettes enregistrées en écoutant mon émission de radio préférée.Sandrine de la page Facebook : Un café, un bon livre
J’ai trouvé très intéressants les thèmes abordés, j’ai beaucoup aimé la plume de Thomas Palpant, mais il manquait selon moi un peu de développement dans les thématiques abordées 👀Chloé de la page Instagram : @thrillarhist
Il aurait peut-être été aussi bien que le récit soit un peu plus étoffé, justement en gardant les dialogues et en mettant plus de texte. Mais ceci n’est bien sûr qu’un avis personnel et cela ne m’a pas empêchée d’apprécier ma lecture. L’idée de ce roman est vraiment originale, et c’est pour cela que j’ai surtout apprécié cette lecture.Marie Nel du blog : Marie-Nel lit
Qu’on se le dise : j’ai aimé ma lecture, c’était joli et ça se tient. Mais on en revient toujours au même problème. J’aurais aimé que les thématiques abordées soient davantage creusées, étudiées, exploitées, illustrées.Zoé du blog : Zoé prend la plume
ce qui m’a plus du coup, c’est qu’en partant d' »avant », je me suis laissée entraîner dans l' »après » et que la discussion finale qui confronte les deux générations m’a paru d’une limpidité époustouflante.Céline du blog : Les Chroniques de l’autoédition
Pour être honnête, à plusieurs reprises à la lecture de ce roman, je me suis dit que l’avant internet avait quand même bien plus de saveur et de charme que l’ère du tout connecté. Nostalgie quand tu nous tiens…Karine de la page Facebook : Karine Harry Bouquinent
J’ai trouvé que ce roman avait un petit goût de madeleine de Proust. En effet, j’ai eu l’impression de me replonger dans mes toutes jeunes années avec un sentiment comme si la vie y était un brin plus facile. C’était agréable de se replonger dans mes souvenirs de ces moments là.Julie du blog : Musemania’s books
J’ai plongé avec plaisir et nostalgie dans ce très court roman, qui m’a également rappelé quelques souvenirs. De par sa longueur il se lit très vite, on s’attache rapidement aux protagonistes – qui sont suffisamment travaillés, car crédibles. L’écriture est simple, et la narration d’une époque à l’autre plutôt plaisante.Claire du blog : Claire Stories 1, 2, 3 !
Cela manque singulièrement de profondeur. Cela manque aussi singulièrement de point de vue au fond, tant l’auteur prend soin de ne pas prendre vraiment parti – ce qui reste un choix respectable, qui laisse de la place au lecteur pour se situer. Cet élément est extrêmement frustrant tant le sujet reste complexe et se prêtait à un développement riche, en plaçant par exemple chacun des outils amenés par les progrès technologiques au centre d’enjeux forts.Laurent du blog : Au fil de Lau
L’auteur a évité le piège assez facile dans lequel il aurait pu tomber de « c’était mieux avant ». Il dresse le portrait de deux époques totalement différentes mais avec leurs avantages, leurs inconvénients, et leurs ressemblances.Virginie du blog : Accro aux livres