Couverture du roman : On y voit une statue de la justice : femme en toge aux yeux bandés qui porte une balance. Sur les plateaux de cette balance, se trouvent d'un côté des jouets d'enfant (un ours en peluche, un Rubik's cube, une toupie...), de l'autre des ossements auxquels se mêlent une tête et une robe de poupée

Le journal de Léna

Icône de la catégorie Littérature noire : un œil derrière une loupe

Le journal de Léna

Nataly Roques

La justice de l’innocence

Cassandra Jourdan, capitaine de police, à Montpellier et Sophie Rives psychocriminologue restèrent, un long moment, songeuses devant les pages de l’extrait d’un journal intime déployé sur le bureau.

Lors de confessions savamment orchestrées une tueuse en série déballe ses crimes au fil de ses écrits, en ne laissant aux enquêtrices aucun répit.

« Ce porc scrutait les alentours comme s’il se sentait épié, comme s’il avait quelque chose à se reprocher… Il serrait son sac de courses devant lui pour ériger une barrière entre l’immonde qu’il incarnait et le monde… »

Sophie et Cassandra ébranlées voient leurs convictions vaciller au fur et à mesure que leurs investigations progressent.

Que veut cette Léna avec ses jeux de maux.

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