Catégorie Imaginaire : A ma vie, à ta mort – Les chroniques

Recouvert de symboles grecs faisant référence à Hadès, un corps mutilé et désormais inidentifiable, est retrouvé dans une cave à New York. Jeune flic fraichement sorti de l’école de police, Mike Sullivan se retrouve chargé de cette affaire qui le mènera jusqu’au pied du World Trade Center, ce terrible jour du 11 septembre 2001. Une fois son bras vengeur lancé et bien que la faucheuse soit belle à couper le souffle, rien ne peut la stopper. Instrument du Destin ou de la Mort elle-même, il devra résoudre cette affaire en empruntant des sentiers dont personne ne revient jamais.

Ce qu’en ont pensé nos chroniqueurs :

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On découvre sur les premiers chapitres une sordide histoire de meurtre, de torture, et une équipe des forces de l’ordre qui peine à résoudre cette histoire malgré les compétences de l’Inspecteur. Le fantastique s’immisce peu à peu dans l’histoire, et même si on peut penser que le scénario est un peu fouillis, chaque détail s’explique, tout est paramétré avec soin. La mythologie grecque s’installe avec brio dans ce mélange, ce qui donne au final un roman qui a tout pour me plaire !

Audrey, La Tasse ébréchée

L’autrice prend le temps de poser les bases afin de nous offrir une intrigue complexe dont la lecture se révèle aussi angoissante que prenante. Amateurs d’enquêtes policières, de sensations fortes ou tout simplement d’histoires où se mêlent émotions, suspense et personnages à la psychologie développée, vous devriez être conquis par A ma vie A ta mort. Les références à la mythologie grecque devraient, quant à elles, ravir les personnes intéressées par ce domaine.

Audrey, Light & Smell

J’espère que tu es en forme cher lecteur, que tes nerfs sont solides, que ton moral est d’acier, car ne compte pas sur l’auteure pour t’épargner : Tu vas prendre cher et sans délai… Dès le prologue, comme ça tu sais !

Aurélie, Des Livres et Moi

 

J’ai eu beaucoup de mal à évoluer à travers les pages de cet univers, comprenant difficilement où tout cela me menait. La construction m’a semblé brouillon, et pourtant, nous avons un découpage par parties, et encore par chapitres. Il est bien difficile de parler d’un roman qu’on a adoré sans tomber dans le cliché du « j’ai adoré, c’était trop cool », pour parler d’un roman que l’on a pas apprécié, c’est d’autant plus compliqué. (…) Ce qu’on ne peut pas enlever à ce roman est le style très recherché de l’auteur, peut-être un peu trop parfois, rendant certaines phrases lourdes. Néanmoins, j’ai bien accroché à sa plume d’où ressortait une très belle maîtrise de la langue française. Encore une ombre à ajouter au tableau, des coquilles parsèment le récit. Je n’ai pas pour habitude de m’arrêter sur l’orthographe, je repère peu les fautes, mais là, certaines étaient si flagrantes que je ne suis pas passée à côté.

Amélia, Les Histoires d’Amélia et la Culture Geek

 

Alors que le résumé laissait augurer un mélange de mes genres de prédilection : thriller, policier et fantastique, l’alchimie n’a pas opéré et je n’ai pas adhéré. Est-ce le traitement de l’histoire ou la construction qui reste floue assez longtemps ? Si longtemps qu’on a parfois l’impression que l’auteure elle-même ne sait pas vraiment où elle va… Toujours est-il que ce mélange, où les différents genres, au lieu de s’imbriquer et de se compléter, m’ont plutôt paru se télescoper sans se rencontrer vraiment. (…) Il y a quand même quelques qualités et points positifs dans ce livre que je me dois de souligner aussi : une certaine inventivité, une histoire plutôt bien trouvée et qui tient la route, une troisième partie bien plus intéressante, un tueur dont le portrait est assez finement peint et une fin émouvante qui m’a tiré quelques larmes et qui a le mérite de tout faire s’emboîter correctement.

Sophie, Beltane (lit en) Secret

Le portrait du tueur est très bien travaillé, sa construction est fine et je dois dire que sur cette partie l’auteur m’a vraiment surprise, car tout s’emboite à merveille et la construction de son récit prend son sens avec un final qui arrive à lier le fantastique et le thriller avec talent. (…) Ce qui est le plus dérangeant c’est le nombre de fautes qui reste… Je ne parle pas de simples petites coquilles… Une vraie relecture s’impose, pour supprimer les répétitions, fautes d’accords, mots faisant contresens, obligeant le lecteur à faire une gymnastique avec ses neurones, n’aidant certainement pas dans la confusion que l’on peut ressentir à la lecture de certains passages…

Julie, Ju Lit les Mots

C’est le premier roman que je lis de Sandra Triname même si j’ai son précédent dans ma bibliothèque qui m’attend sagement.. Je dois dire que j’ai apprécié sa plume qui a réussit à me donner des frissons lors des scènes de tortures mais aussi à m’émouvoir à certains passages. Par contre, et là encore c’est vraiment dommage, j’ai trouvé qu’il y avait vraiment trop de coquilles encore présentes dans ce livre : fautes d’orthographe, d’accord, lettres oubliées, contresens,… C’est regrettable je trouve car ce roman avait un très fort potentiel et en soit j’en ai apprécié l’histoire, les personnages et la plume de l’auteure mais entre longueurs et coquilles… il ne manquait finalement pas grand chose pour qu’il me semble excellent.

Emma, Et tu lis encore Emma

 

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