Catégorie Imaginaire, Le Porteur de Mort – Les chroniques

À 17 ans, Seïs Amorgen est nommé pour intégrer la plus grande confrérie du royaume d’Asclépion. S’il accepte, il deviendra l’un des guerriers les plus éminents de la monarchie. S’il refuse, il restera le gamin frivole et arrogant qui fraye avec les bandits de sa ville natale. Alors que l’ombre du Renégat s’étend sur sa terre d’origine, Seïs va devoir prendre la décision qui bouleversera sa vie et, bientôt, il devra faire face à ses propres démons.

 

Auteur : Angel Arekin

Éditeur : Plume blanche

Nombre de pages : 424

Genre : Fantasy

Premier tome

Ce qu’en ont pensé nos chroniqueurs :

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J’ai eu du mal à saisir quelle était la volonté de l’auteure, de comprendre qu’elle était le but de cette aventure, pourquoi on nous présente Seïs devenu apprenti? Dans quelle finalité exactement? On a vaguement vent d’une menace qui plane, un ancien apprenti/maître (dont j’ai déjà oublié le nom, coucou mémoire affligeante) qui serait sorti du droit chemin mais bof quoi, rien qui nous fiche les pétoches non plus. (…) Toutefois, je dois bien dire que j’ai trouvé la plume d’Angel Arekin d’une extrême beauté. Vraiment. Malgré le côté ‘chaotique’ du fond, la forme restait particulièrement excellente.

Emma, My Dear Ema

 

La plume est vraiment superbe et maintient le lecteur dans un perpétuel attachement à la langue. Les mots utilisés sont soutenus et cela change de ce que j’ai pu parfois lire, en 4ème de couverture, qui a tendance à me repousser… (…) La série compte 6 tomes, donc ne vous attendez pas à faire des découvertes de folies, ici l’auteur plante son décor et prépara la suite de son monde… Et gageons que les prochains seront riches en rebondissements. (…) Une écriture fluide et imagée de très belle qualité, qui te donne vraiment envie de poursuivre ta lecture (même si parfois j’ai eu le sentiment qu’il me fallait un dico pour comprendre)

Julie, Ju lit les mots

 

Commençons par le point légèrement négatif, qui, finalement, s’avère être plutôt positif sur la globalité du roman. J’ai eu du mal au début, à cause de quelques lourdeurs descriptives qui ont eu tendance à me lasser. Il faut dire que l’auteur a tendance à s’arrêter sur un peu tout, jusqu’à décrire le chemin que prend une araignée. Bref, j’ai eu quelques difficultés au début à bien m’imprégner de l’histoire, mais une fois habituée, je me suis plongée entièrement dans ce roman. Autrement, mis à part ces quelques lourdeurs descriptives que je devrais plutôt qualifier de pauses longuettes dans le fil du récit, j’ai également repéré quelques coquilles. (…) Malgré ces quelques points négatifs cités un peu plus haut, j’ai tout de même beaucoup apprécié mon voyage. L’univers que nous propose Angel Arekin est finement campé, cohérent et visuel. Du fait, notamment, de ces descriptions longues et parfois lourdes qui, donc, ne m’en déplaise, apportent finalement beaucoup au roman. À l’image de nombreux romans de fantasy, nous avons un univers médiéval, à coup de tavernes et bien d’autres choses.

Amélia, Les Histoires d’Amélia & la culture Geek

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